Bienvenue à Ciné-ma différence
On devrait tous se sentir le bienvenu au cinéma !
Depuis 2005, Ciné-ma différence adapte des séances de cinéma pour les rendre accessibles aux personnes dont le handicap (autisme, polyhandicap, handicap mental, handicap psychique, maladie d'Alzheimer) entraine des troubles du comportement.
Ciné-ma différence a projeté 1 400 films à 93000 spectateurs, handicapés et non handicapés, leur permettant de partager une expérience de cinéma vivante et chaleureuse.
Le dispositif Ciné-ma différence est présent dans 50 villes.
Aidez-nous à faire grandir notre réseau !
Ciné-ma différence a été créé en 2005 comme une réponse à l’exclusion de fait des loisirs culturels de personnes dont le handicap, parfois invisible, entraine des comportements sociaux en dehors de la norme. Le dispositif Ciné-ma différence a été conçu pour permettre le partage de ces loisirs entre personnes AVEC ET SANS handicap, dans le respect de ces valeurs :
- Droit à la culture pour tous
- Droit à la différence
- Inclusion dans tous les espaces culturels à tous les âges
- Respect de chaque personne telle qu'elle est
L’action de Ciné-ma différence :
Adapter des séances de cinéma, concerts, etc., pour les rendre accessibles à des personnes avec un handicap entrainant des troubles du comportement, et faire en sorte qu’elles puissent devenir des spectateurs comme les autres.
Permettre à des familles privées de lien social par le handicap d’un de leurs membres de retrouver des activités sociales ordinaires.
Habituer le public « naturel » de ces lieux à les partager avec des spectateurs pouvant exprimer leurs émotions d’une manière différente.
Former des bénévoles d'accueil qui deviennent des relais convaincants de l'accessibilité dans d'autres secteurs de leur vie.
Aider et former les professionnels des lieux culturels à accueillir un public qu'ils n’ont pas l'habitude (voire peur) de recevoir.
Sensibiliser le grand public par des actions de communication/information.
Notre ambition : Que le principe du dispositif Ciné-ma différence soit progressivement intégré par les salles de spectacle et par l’ensemble de la société civile, et, qu’à terme, il n’ait plus de raison d’être.
