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Par Fondation Transdev - Publié le 14 octobre 2021 - 12:54 - Mise à jour le 14 octobre 2021 - 16:16
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Anne Gormand, correspondante de la Fondation Transdev, oeuvre pour la mobilité sociale en Occitanie

Anne Gormand est cheffe de projet développement et marketing à Montpellier au sein du groupe Transdev. Depuis 2020, elle est également correspondante locale de la Fondation Transdev et marraine de deux associations qui agissent dans le champ de la mobilité sociale. Elle explique les raisons de son engagement au côté de la Fondation Transdev et détaille le rôle du correspondant local.

Anne Gormand, correspondante de la Fondation Transdev
Anne Gormand, correspondante de la Fondation Transdev

 

 

Quel est votre rôle en tant que correspondante locale de la Fondation Transdev ?

 

En tant que correspondante locale de la fondation pour la région Occitanie, mon rôle consiste à saisir les opportunités de projets associatifs qui se présentent sur le territoire. La Fondation Transdev a fait le choix d’avoir des correspondants locaux qui peuvent identifier les projets associatifs à soutenir dans le champ de la mobilité sociale. Notre connaissance fine du territoire nous permet d’identifier et de porter ces projets afin qu’ils soient soutenus par la fondation. 

Le correspondant a aussi un rôle de relai au sein de l’entreprise pour engager des collaborateurs, qu’il s’agisse d’un chauffeur de bus ou d’un cadre, à parrainer ou marrainer  les associations soutenues.

 

Comment se passe la sélection des projets ?

 

Les correspondants locaux sont référencés sur le site de la fondation. Quand une association cherche des financements, elle nous écrit un e-mail. On commence par une prise de contact avec un entretien téléphonique. On peut également se voir physiquement. Avec la crise sanitaire, les choses se sont beaucoup faites à distance. L’association va me présenter le projet qu’elle souhaite voir soutenu par la fondation. Je vais regarder si ce projet correspond aux critères retenus par la fondation. Il faut que l’association ait plus d’un an d’existence, que son projet prévoit un début et une fin. Cela signifie que nous ne finançons pas le fonctionnement de l’association mais bien un projet local. Il faut également que le projet réponde à un enjeu de mobilité sociale, c’est-à-dire qu’il permette à des bénéficiaires d’évoluer dans leur parcours de vie. 

 

Quels projets associatifs avez-vous portés jusqu’ici ?

 

Je suis correspondante locale depuis 2020. J’ai retenu et soutenu deux projets associatifs jusqu’à maintenant : Wake up Café et la Matrice de Thau. Wake up Café est une association qui accompagne les sortants de prison. L’association vient en amont de leur sortie et les accompagne grâce à un écosystème vertueux – formation, emploi, lien social – pour éviter la récidive. L’association ouvre une antenne sur Montpellier. Ils aménagent un local chaleureux pour accueillir les anciens détenus, pour en faire un lieu où ils pourront rebondir. 

La Matrice de Thau accompagne des personnes isolées, notamment des femmes issues de quartiers prioritaires. L’association propose notamment des ateliers de cuisine pour qu’elles prennent confiance en elle. Je suis également marraine de ces deux associations. À ce titre, je suis la garante du développement du projet au niveau de la Fondation Transdev. Je rencontre régulièrement les associations, j’assure un suivi, je dois être alerte et les aider à trouver des solutions s’ils rencontrent des difficultés. Je les aide à mener leur projet à terme.

 

Pourquoi avoir choisi de vous engager aux côtés de la Fondation Transdev, en tant que correspondante locale et marraine ?

 

Je suis déjà engagée dans un projet associatif local à Montpellier (la Jeune Chambre Économique de Montpellier), je suis donc sensibilisée au milieu associatif. Quand on m’a  proposé d’être référente pour la fondation, je n’ai pas hésité. Je suis moi-même chef de projet au sein du groupe Transdev. Je souhaitais vraiment voir l’ensemble des étapes d’accompagnement de projets associatifs locaux, sur mon territoire : être à la fois correspondante et marraine des projets m’offre la possibilité de faire tout cela. 

 

C’est toujours très intéressant de rencontrer des associations, des personnes d’horizons différents. L’associatif a une vraie richesse. Travailler à leurs côtés me fait découvrir des parcours de vie différents du mien. Cela me confronte à d’autres idées, d’autres réalités, me remet en question.  

 

Est-ce important pour vous que votre entreprise s’engage socialement en soutenant des projets associatifs d’intérêt général ? 

 

En tant que salariée, je pense que les entreprises doivent avoir un rôle dans l’accompagnement social et environnemental des territoires. Les collectivités ont de moins en moins de moyens et il y a de plus en plus d’associations. Les grandes entreprises comme Transdev ont une portée d’innovation, d’accompagnement financier pour ces associations. Je trouve que le positionnement de la fondation autour de la mobilité sociale a une vraie plus-value. Il permet d’avoir une richesse et une diversité de projets qui placent tous le développement de l’humain au centre du projet. Tous les projets soutenus par la Fondation Transdev accompagnent les bénéficiaires dans des changements de vie pour qu’ils évoluent – physiquement, socialement, professionnellement. En tant que salariée, c’est pour moi une fierté que Transdev porte et soutienne ces projets-là. 

 

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