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Par FONDATION DE LA 2e CHANCE - Publié le 4 novembre 2021 - 17:30 - Mise à jour le 4 novembre 2021 - 17:31
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Sans l'aide de la Fondation de la 2ème Chance je n’aurai jamais pu finaliser mon diplôme

Yasmina, 46 ans, a été lauréate de la Fondation en septembre 2019 pour son projet de formation en vue d’obtenir un Master 2 en Management des Organismes d’Insertion. Site-relais de NANCY.

« J’étais encore étudiante lorsque j’ai eu mon 1er enfant. Il a été malade et nécessitait une présence continue à ses côtés.

J’ai été dans l’obligation d’abandonner mes études, que je n’ai pas pu reprendre, et j’ai dû travailler dans un Centre d’Appels pour des besoins alimentaires.

Mon dernier fils souffre d’un trouble du développement, et il aura toujours besoin de soutien. J’ai alors décidé de reprendre mes études pour finaliser ma formation afin de pouvoir lui assurer mon aide tout au long de sa vie.

En instance de divorce, mes revenus étaient modestes. Mon projet étant de trouver à terme un travail dans l’insertion, j’ai souhaité utiliser mes droits au FONGECIF et pris un congé sans solde.

Malheureusement le FONGECIF ayant refusé de m’aider car j’avais, selon eux, un niveau d’études trop élevé, je me suis tournée vers la Fondation de la 2ème Chance. Cette dernière a accepté de m’accompagner dans mon projet en prenant en charge une partie des frais de formation. Sans cette aide je n’aurai jamais pu finaliser mon diplôme.

J’ai obtenu un Master 2 en Management des Organismes d’Insertion fin octobre 2020 et je suis à la recherche d’un emploi.

Par ailleurs, grâce à l’aide de la Fondation de la 2ème Chance, j’ai suivi à distance une formation d’étudiant entrepreneurial afin d’être accompagnée dans le cadre de mon projet. Le fait d’avoir pu faire le Master m’a encouragée à finaliser mon parcours de manière plus constructive.

La période actuelle ne facilite pas les choses, mais je continue à passer des entretiens, tout en travaillant comme conseillère dans un call center. Mon idée serait de créer une société spécialisée dans la hotline entre fournisseurs de logiciels et centres d’appels. Elle pourrait aussi dispenser des formations au numérique dans les quartiers et dans les associations. C’est aussi ma façon de favoriser l’insertion des plus démunis.»

 

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