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Par Carenews PRO - Publié le 8 mars 2018 - 16:21 - Mise à jour le 12 mars 2018 - 08:57
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France Éco-Sociale Tech (FEST) veut réunir tous les acteurs de la Tech sociale

Réunir sous un même chapiteau les univers de la Tech et de l’innovation sociale et environnementale. C’est le défi que se donnent une poignée d'entrepreneurs sociaux, parmi lesquels Gilles Babinet, Frédéric Bardeau (Simplon.co), Nicolas Célier (Ring Capital) et Chiara Condi (Led by HER). Leur objectif ? Construire une communauté audible réunissant tous les acteurs partageant la volonté de créer un impact positif grâce à la Tech, en dépassant les statuts juridiques et la bannière de l’ESS.

France Éco-Sociale Tech (FEST) veut réunir tous les acteurs de la Tech sociale
France Éco-Sociale Tech (FEST) veut réunir tous les acteurs de la Tech sociale

Favoriser le dialogue entre les différents acteurs de l’innovation sociale

 

Frédéric Bardeau, cofondateur de Simplon.co, a profité de la soirée d'ouverture de la Social Good Week hier pour annoncer le lancement de son nouveau bébé, FEST. Destiné à répondre aux besoins structurels de tout l’écosystème de la Tech et de l’innovation sociale ( “Social Good”, “Positive Impact”, “Tech For Good”, “Social Tech”, “Civic Tech”, “Clean Tech”, Green IT…), il se lance aux côtés de Mathilde Aglietta, Gilles Babinet, Nicolas Célier, Chiara Condi, Santiago Lefebvre, Anita de Voisins et Alexis Sarrut dans une nouvelle aventure : FEST. « Nous en avions assez de cette schyzophrénie entre le monde de la Tech et de l’ESS, une structure réunissant l’ensemble des acteurs de cet écosystème manquait, explique-t-il. Il nous fallait une maison commune pour pouvoir discuter tous ensemble. »

 

Dépasser les statuts juridiques pour mieux se faire entendre

 

Avec FEST, l’enjeu est surtout de « transcender les statuts juridiques » pour se concentrer sur la question de l’impact, et de faire entendre la voix d’une génération. Mouvement, structure d’accueil ? Initiative autonome, tranche Frédéric Bardeau. « Nous n’avons pas de structure juridique et sommes incubés par France Digitale, que l’on connaît bien, ajoute-t-il. Nous allons bénéficier de leurs canaux de communication, qui sont très puissants, notamment auprès des pouvoirs publics. » Aussi, FEST se présente comme le futur porte-parole d’une communauté, capable, de par l’étendue de son périmètre (ni bannière juridique, ni thématique), de peser sur les décisions politiques.

 

Quid des prochaines semaines ? 

 

Après un appel posté en ligne par l’équipe directrice de FEST, les premiers sympathisants du mouvement se sont réunis le 5 mars dernier. D’ici la fin de la semaine prochaine, ces derniers auront pour mission de rassembler de nouveaux acteurs sensibles à l’initiative, pour aboutir à la constitution d’un premier board d’une vingtaine de personnes. Pour le reste, la porte est ouverte. « La priorité numéro un, c’est d’augmenter notre périmètre, notamment avec des personnes qui sont habituellement hors de nos radars. Ensuite, nous nous poserons tous ensemble pour définir les lignes directrices du mouvement », détaille Frédéric Bardeau.  

 

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