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Par Carenews INFO - Publié le 28 janvier 2025 - 12:58 - Mise à jour le 28 janvier 2025 - 17:11 - Ecrit par : Léanna Voegeli
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Les 5 métiers à impact qui recrutent en 2025

Chef.fe de projet économie circulaire, responsable RSE en temps partagé… Pour la septième année consécutive Birdeo publie son Top 5 des métiers à impact qui recrutent en 2025.

Birdeo rend public son Top 5 des métiers à impact qui recrutent en 2025. Crédit : Carenews.
Birdeo rend public son Top 5 des métiers à impact qui recrutent en 2025. Crédit : Carenews.

 

La RSE continue de s’imposer dans de nombreux secteurs comme « un levier de transformation et d’opportunités ». La volonté des entreprises d’agir en faveur de la société et de l’environnement s’inscrit dans les chiffres : 40 % des créations de poste concernaient des emplois à impact en 2023 selon Birdeo.  

Cette année encore, le cabinet de recrutement a publié son Top 5 des métiers à impact recherchés par les entreprises françaises. Voici les métiers à finalité écologique correspondant aux besoins de 200 entreprises interrogées par le cabinet.

 

Ces métiers à finalité écologique recrutent en 2025. Crédit : Carenews.

 

1. Le/la chef de projet économie circulaire (analyse du cycle de vie-éco-conception) 

 

Le chef de projet écoconception crée des produits et services en vue d’atténuer les effets négatifs sur l’environnement. Pour cela, il utilise des matières recyclées ou alternatives. En même temps, il identifie de nouveaux matériaux, de nouvelles façons de produire. Cette activité permet aux entreprises de répondre aux nouvelles réglementations et au lancement de nouvelles filières de responsabilité élargie du production (REP). Ces évolutions obligent en effet les entreprises à « repenser leurs offres produits »

Rémunération : de 50 000 à 55 000 euros par an en moyenne selon l’expérience. Diplôme : bac + 5 d’écoles d’ingénieurs ou design avec une spécialisation en environnement ou développement durable. 

 

2. Responsable RSE en temps partagé 

 

Ce poste concerne les entreprises de taille intermédiaires (ETI) et petites et moyennes entreprises (PME) pour qui il n’est pas toujours possible de concevoir des postes exclusivement dédiés à la durabilité. Le responsable RSE en temps partagé leur permet ainsi de bénéficier d’un appui solide en la matière. Le professionnel définit « des pistes d’actions », travaille « les risques et les impacts négatifs pour maximiser les impacts positifs et la pérennité de l’entreprise »

Forme de la collaboration : CDI ou contrat de prestation. Diplôme : bac +5 et spécialisation RSE. 

Rémunération : selon le type de contrat, taux jour ou CDI 

 

3. Responsable du risque durabilité (manager sustainability risk) 

 

La notion de risques pour l’entreprise fait partie intégrante des règlementations CSRD et CS3D. Le manager sustainability risk joue ainsi un rôle primordial dans « l’identification, l’évaluation et l’atténuation des risques liés aux facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) »

Rémunération : 70 000 à 100 000 euros par an en moyenne selon l’expérience et la taille de l’entreprise. Diplôme : bac +5 spécialité juridique avec une formation RSE ou fort intérêt pour le développement durable. 

 

4. Le/la responsable du vivant (eau et forêt) 

 

Son rôle consiste à définir une stratégie biodiversité et à intégrer des enjeux nature dans la conception d’offres. Pour ce faire, il doit intégrer l’écoconception de produits et les boucles circulaires. Parmi les missions figure la gestion des ressources naturelles en « prévenant la perte de la biodiversité »

Rémunération : de 50 000 à 65 000 euros par an en moyenne selon l’expérience et la localisation. Diplôme : bac +5 écoles d’ingénieurs avec une spécialisation environnement et biodiversité, une expertise technique en hydrologie. 

 

5. Directieur.rice supply et achats durables 

 

Ce métier fortement axé sur les activités logistiques de l’entreprise évolue et fait désormais appel à des compétences en lien avec l’économie circulaire, l’énergie, la décarbonation ou encore les audits fournisseurs. En ce sens, l’objectif de la direction supply est de réévaluer « le sourcing, la gestion des stocks, la manutention et le transport »

Rémunération : 100 000 euros par an en moyenne selon l’expérience et la taille de l’entreprise. Diplôme : bac +5 écoles d’ingénieurs. 

 

Léanna Voegeli et Élisabeth Crépin-Leblond  

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