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Par Foundation S - The Sanofi Collective - Publié le 25 juin 2019 - 14:58 - Mise à jour le 25 juin 2019 - 15:09
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Nouvelle feuille de route et ambitions 2019-2021 pour la Fondation Sanofi Espoir

La Fondation Sanofi Espoir se dote d’une nouvelle feuille de route pour la période triennale 2019-2021. Capitalisant sur ses succès, elle affiche de nouvelles ambitions, notamment en matière d’accès à la santé pour les plus démunis en France. Pour atteindre ses objectifs, la Fondation Sanofi Espoir voit son budget augmenté de 40 %, à 21 millions d’euros sur trois ans.

Nouvelle feuille de route et ambitions 2019-2021 pour la Fondation Sanofi Espoir
Nouvelle feuille de route et ambitions 2019-2021 pour la Fondation Sanofi Espoir

 

 

 

La Fondation Sanofi Espoir renforce ses moyens pour réaliser les ambitions de sa nouvelle feuille de route :

- Fédérer les acteurs de la lutte contre les vulnérabilités en France

- Prendre en charge plus de 100 000 enfants atteints de cancer dans le monde

- Un budget augmenté de 40 %, à 21 millions d’euros sur trois ans

 

En France, la Fondation Sanofi Espoir a l’ambition de devenir le catalyseur de la lutte contre les vulnérabilités, en fédérant une centaine d’acteurs autour d’une approche globale de la personne. L’objectif est de créer, d’ici à 2021, un Institut des Vulnérabilités, chargé notamment de partager les bonnes pratiques telles que celles développées par la Maison des Femmes de Saint-Denis, les Apprentis d’Auteuil ou encore le dispositif Convergence d’Emmaüs Défi.

« Alors que le progrès thérapeutique ne cesse de créer de nouveaux espoirs, les inégalités en santé persistent et cet écart s’est également creusé au sein des pays les plus riches », explique Xavier Darcos, Président de la Fondation Sanofi Espoir. « Pour inverser cette logique fatale, nous plaidons pour une approche globale de la personne et œuvrons pour un accompagnement global et inclusif, seul garant d’une autonomie retrouvée. »

 

À l’international, dans le domaine de la lutte contre les cancers pédiatriques dans les pays à revenus faibles et intermédiaires : la Fondation a pour objectif d’accroître le nombre d’enfants pris en charge par le programme My Child Matters. Elle vise la prise en charge de plus de 100 000 enfants d’ici à 2021, à comparer à 85 000 en 2019. Après avoir soutenu 58 projets dans 42 pays depuis 2005, ce sont 24 nouveaux programmes qui bénéficieront de l’appui de la Fondation au cours des trois prochaines années, dans des domaines allant des registres des cancers au diagnostic précoce, en passant par le développement des soins palliatifs et la lutte contre les abandons de traitement. La Fondation veut également accroître le nombre de professionnels de santé formés, pour le porter à 30 000, à comparer à 25 000 depuis 2005.

Concernant la santé maternelle et néonatale :

la Fondation va privilégier une nouvelle approche, basée sur le travail de terrain, et recentrer son action sur deux pays, le Sénégal et le Bénin. En près de dix ans, grâce à son initiative Midwives for Life (« Une sage-femme pour la vie »), la Fondation a soutenu 35 projets dans 24 pays. Ils ont permis de prendre en charge 4,5 millions de femmes, dont près de 1,2 million de femmes enceintes. La Fondation s’engage par ailleurs en faveur de l’innovation avec le projet echOpen, un échostéthoscope directement connecté à un smartphone, développé en open source et accessible à bas coût. Une phase pilote de déploiement démarrera l’année prochaine au Bénin, avec la mise à disposition de 600 appareils au service de l’amélioration du diagnostic en santé maternelle et néonatale.

«La Fondation Sanofi Espoir intervient comme catalyseur, notamment dans le domaine des cancers pédiatriques où il reste beaucoup à faire : le taux de survie ne dépasse pas 20 % dans certains pays à revenu faible et intermédiaire, contre 80 % dans les pays riches », détaille Valérie Faillat, Déléguée générale de la Fondation. « Notre démarche est holistique car l’approche technique ne suffit pas. L’exemple de la santé maternelle montre bien l’impact de l’éducation et de la culture, et l’importance de la connaissance du terrain. »

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