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Par FONDATION SUEZ - Publié le 21 août 2018 - 09:23 - Mise à jour le 28 août 2018 - 13:36
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26 au 31 août, c’est la WorldWaterWeek: l’eau, première étape du développement

Dans le massif de l’Aïr, au nord Niger, l’association Les Puits du Désert, en partenariat avec l’ONG locale Tidène, pilote un projet d’accès à l’eau potable intégrant notamment le développement de cultures maraîchères dans cette zone marquée par l’instabilité politique. La Fondation SUEZ leur apporte son soutien depuis 2010.

26 au 31 août, c’est la WorldWaterWeek: l’eau, première étape du développement
26 au 31 août, c’est la WorldWaterWeek: l’eau, première étape du développement

Le Massif de l’Aïr, au Nord d’Agadez au Niger, vit une situation très tendue, nourrie par les problèmes économiques et l’instabilité politique, avec le risque d’enfermer les populations dans un cercle vicieux de pauvreté et d’insécurité. Refusant cette perspective, l’association des « anciens combattants » revenus chez eux à l’issue des conflits dans la région, a sollicité les Puits du Désert (la seule association présente dans le secteur) et son partenaire local l’ONG Tidène, pour les aider à développer des activités économiques leur permettant de se stabiliser dans leur région. Avec ce projet, c’est tout une région engagée dans le développement et l’amélioration des conditions de vie, tant d’un point de vue social, économique et aussi de genre, car une coopérative de femmes a été créés et les hommes se sont orientés vers l’agriculture.

Accès à l’eau : briser le cercle de la pauvreté et de l’insécurité

Pour répondre à leur demande, les Puits du Désert et Tidène, qui agissent depuis 15 ans au Nord Niger, pilotent un projet visant à renforcer l’accès à l’eau potable (et donc diminuer la prévalence des maladies hydriques) et favoriser le développement des cultures maraîchères dans 5 villages, représentant 10 000 personnes.

Au programme : d’un côté, construction de 5 puits villageois, formation des comités de gestion à la désinfection des puits, sensibilisation des populations à l’hygiène et formation des anciens combattants pour qu’ils deviennent agriculteurs maraîchers ; de l’autre, construction de 20 puits maraîchers alimentant 60 jardins avec leur réseau d’irrigation améliorée. La sécurisation du secteur est en bonne voie selon les responsables : « Les bénéficiaires se sédentarisent de plus en plus aux alentours de jardins et créent des nouveaux villages, ce qui augmente les besoins en termes d'infrastructures scolaires, sanitaires et hydrauliques ». 

 

 

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