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Par Société Générale - Publié le 6 novembre 2018 - 17:14 - Mise à jour le 6 novembre 2018 - 17:17
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Former la jeunesse africaine à la révolution numérique

Depuis 2013, Simplon forme gratuitement des personnes éloignées de l’emploi aux métiers du numérique. Acteur solidaire de l’insertion professionnelle, l’association se déploie aussi en Afrique, continent en plein essor. Avec le plein soutien de la Fondation Société Générale.

 

 

 

Dans ses 45 fabriques implantées en France et dans le monde, Simplon forme des personnes en recherche d’emploi aux métiers du numérique. La seule condition exigée est d’être fermement motivé. Car pendant 8 mois, le rythme est soutenu. Pour un résultat très efficace : avec une méthodologie basée sur 100% de pratique, 80% des personnes formées trouvent un travail dans les 6 mois qui suivent leur formation. Et 100% au bout d’un an.

Pour le président de Simplon, Frédéric Bardeau, l’Afrique est un vivier important de futurs talents. D’abord parce que le continent abrite des start-ups montantes, celles de l’African Tech. Ensuite parce que la force de sa jeune génération est un atout qu’il faut accompagner. Enfin, parce que son marché interne est en pleine croissance.

Simplon y a déjà ouvert 4 fabriques, en Algérie, en Côte d’Ivoire, au Maroc et au Sénégal. Cinq ouvertures d’établissements sont prévues : au Bénin, au Gabon, en Tunisie, au Togo et au Burkina Faso. Chaque fois, un travail de proximité est fait avec les autorités locales, pour coordonner les formations avec les services de l’éducation et de la formation professionnelle. Cette volonté d’impliquer étroitement l’écosystème local multiplie les synergies.

Côté participants, les formations Simplon s’adaptent à un public assez différent de celui qu’elles pratiquent en Europe. Car beaucoup sont déjà titulaires d’un diplôme. « Nous accueillons davantage de personnes diplômées de l’enseignement supérieur mais dont les connaissances sont essentiellement théoriques, ce qui rend leur insertion professionnelle très difficile. » Les femmes sont très présentes. Et pour Frédéric Bardeau, cela ne fait aucun doute, la plupart créeront une activité à l’issue de leur formation.

Si le bénéfice immédiat des formations sur l’insertion professionnelle est évident, il existe un enjeu plus global. Celui de la prise de conscience par les populations des pays africains de leurs formidables atouts. Les Fabriques Simplon mettent en avant le potentiel – puissant – de la jeunesse africaine. « Nos fabriques, conclut Frédéric Bardeau, valorisent un modèle d’exemplarité avec des apprenants employables, et surtout employés dans les entreprises locales. Ils jouent un rôle essentiel d’entraînement auprès d’autres personnes. »

Retrouvez l’interview de Frédéric Bardeau, président de Simplon en cliquant sur ce lien

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