[FUSAC] METRO France crée son fonds de dotation

Pour un monde “bien dans son assiette”

À l’occasion de la 19e édition du Salon International de la Restauration, de l’Hôtellerie et de l’Alimentation (SIRHA) qui s’est tenue à Lyon du 26 au 30 janvier, METRO France a annoncé la création de son fonds de dotation. Une étape majeure dans l’histoire de la filiale du groupe allemand, implantée en France depuis 1971.

Benoît Feytit, directeur général de METRO France depuis six ans, a été nommé président du fonds. «Le Fonds METRO a la volonté de contribuer et de proposer des réponses aux enjeux sociaux, sociétaux et environnementaux de notre société», affirme-t-il. Ces réponses seront axées autour d’un objectif clair : œuvrer pour «un monde bien dans son assiette». Pour cela, le fonds de dotation agira sur trois grands piliers : créer du lien social, agir pour le patrimoine gastronomique français, et penser les «assiettes de demain».

Une action dans le prolongement de la politique RSE de METRO France

Le fonds de dotation s’est déjà engagé sur plusieurs projets en lien avec ces trois piliers. Il apporte son soutien aux ateliers culinaires de l’association La Tablée des Chefs, et au RADIS, projet de l’association À Table Citoyen. Il soutiendra également le projet de la Fondation Goodplanet, l’École Good Planet, un espace dédié à l’éducation à l’alimentation, à l’agriculture et à l’écologie. Il doit également être partenaire de la catégorie «reconversion» du concours des Fermes d’Avenir, qui a vocation à accompagner les projets de transformation des fermes d’agriculture conventionnelle.

Après le démarrage de sa politique RSE, en 2011, METRO France a mis en place en 2015 un colloque annuel, «Mon restaurant passe au durable», une session d'échanges sur les enjeux du développement durable au sein de la restauration. «Aujourd’hui, c’est une nouvelle étape que nous franchissons avec le lancement de notre fondation : celle-ci illustre notre conviction et notre volonté de porter plus loin encore notre rôle d’entreprise responsable en contribuant positivement à des initiatives d’intérêt général innovantes, en lien avec notre écosystème », explique Benoît Feytit.