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Par Carenews INFO - Publié le 3 novembre 2016 - 15:51 - Mise à jour le 10 novembre 2016 - 14:37
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Cuisine mode d’emploi(s), success story d’un engagement sociétal

Depuis 2012, le chef étoilé Thierry Marx tend la main aux personnes en difficulté qui souhaitent se frayer un chemin professionnel dans l’univers de la restauration et de la boulangerie. Son école Cuisine mode d’emploi(s) propose une formation rapide, reconnue et entièrement gratuite.

Cuisine mode d’emploi(s), success story d’un engagement sociétal
Cuisine mode d’emploi(s), success story d’un engagement sociétal

Les métiers de bouche, un vrai débouché

Malgré la crise, la restauration et la boulangerie recrutent. Afin de mettre en relation les employeurs et les personnes en difficulté désireuses de se former dans ces secteurs, Thierry Marx a lancé en 2012 une initiative innovante baptisée Cuisine mode d’emploi(s). Cette école de cuisine permet aux personnes socialement exclues de mettre le pied à l’étrier et la main à la pâte, et ceci sans avoir à mettre la main au portefeuille. À la clé, un diplôme et un accompagnement vers l’emploi par le pôle hôtellerie-restauration du groupe Adecco, ainsi que l’accès à un vaste réseau de restaurateurs et de boulangers. Cette formation gratuite, rapide et efficace (huit semaines de théorie et de pratique, quatre semaines de stage en entreprise) séduit aussi bien les élèves que les professionnels.

Des candidats triés sur le volet

Priorité est donnée aux personnes en difficulté, en particulier les demandeurs d’emploi et les jeunes sans diplôme. Environ une personne sur dix est un ancien détenu. À l’heure de sélectionner les futurs stagiaires, l’école consulte Pôle emploi, les organismes sociaux et l’administration pénitentiaire. Les candidats doivent envoyer leur CV et une lettre de motivation par voie électronique. Une première contrainte qui permet d’évaluer leur volonté réelle, une volonté passée au crible lors de l’entretien individuel. Une fois acceptés, les stagiaires n’ont plus qu’à se retrousser les manches et rester optimistes : le taux d’embauche dans les deux mois qui suivent la formation est de 94 %.

 

Crédit photo : My Major Compagny

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