Remise des prix scientifiques 2017 de la Fondation Bettencourt-Schueller
La fondation récompense et rencontre, ces 7 et 8 novembre 2017, 20 chercheurs dont les travaux contribuent au progrès des connaissances scientifiques sur des problématiques majeures de santé.

Quatre projets porteurs d'espoir pour des sujets de santé publique majeurs
- Déborah Bourc'his et son projet « Décrypter les mécanismes de la reproduction » a reçu le Prix Liliane Bettencourt pour les sciences du vivant 2017
- Valérie Castellani et son projet « Comprendre la formation du cancer du système nerveux de l'enfant, le neuroblastome » a reçu le Prix coups d'élan pour la recherche française
- Axel Innis et son projet « Contrôler le développement et le fonctionnement des bactéries pour lutter contre la résistance aux antibiotiques » a reçu également le Prix Coups d'élan pour la recherche française
- Fabien Vinckier et son projet « Identifier les causes de la dépression pour envisager des traitements plus efficaces » a reçu le Prix pour les jeunes chercheurs
Ces quatre projets sont mis en avant car ils témoignent de la possibilité d'avancées majeures pour répondre à des grands défis de santé publique.
D'autres chercheurs et chercheuses récompensé-e-s
- « Comprendre le fonctionnement de la mémoire », May-Britt Moser et Edvard Moser
- « Écrire le mode d'emploi de la microstimulation cérébrale pour traiter la maladie de Parkinson », Béchir Jarraya
- « Ouvrir une voie inédite dans la recherche d'un traitement contre le VIH », Monsef Benkirane
- « Commander la réponse immunitaire », Caetano Reis e Sousa
Les sciences du vivant : une priorité
La dotation totale de ces prix s'élève à près de 2 millions d'euros. La Fondation Bettencourt Schueller, reconnue d'utilité publique depuis 1987 et dont la présidente d'honneur a récemment disparu, a fait des sciences du vivant sa priorité : elle y consacre près de la moitié de ses dotations par ses prix mais aussi par ses campagnes de dons.