5 pépites coopératives en Bourgogne-Franche-Comté
Cette série d’articles vous emmène à la découverte de jeunes coopératives dans les territoires. Aujourd’hui, direction la Bourgogne-Franche-Comté, qui compte 118 coopératives et 1 460 salariés.
- Débutant-e Accepté-e
Créée en 2020 à Besançon, Débutant-e Accepté-e est une coopérative de services numériques qui n’emploie que des jeunes diplômés en CDD de six à 24 mois. Partant du constat que les jeunes peinent à s’insérer durablement dans la vie active, la coopérative souhaite en effet leur permettre de s’expérimenter et monter en compétences.
- La Fabrique Éthique
Avec La Fabrique Éthique, l’engagement ne prend pas de vacances. Cette Scic coulangeoise exploite, depuis 2019, un camping, un restaurant qui ne propose que des plats cuisinés à partir de produits artisanaux et locaux et un mini-golf. Une charte éthique définie les grandes lignes de la gestion du lieu qui se veut respectueux de l’environnement et promouvant la ruralité et le développement local.
- Quetzal
Initialement créée sous forme associative en 2003, Quetzal a modifié ses statuts en 2019 pour devenir une coopérative. La Scop châtillonaise propose des séjours adaptés pour les enfants et adultes en situation de handicap. Des partenariats avec des établissements de santé ou encore l’aide à l’enfance lui permettent d’accueillir des publics tout au long de l’année.
- T’as Meilleur Temps
Lauréat du Talents BGE 2021, T’as Meilleur Temps est un supermarché coopératif. Il a été inauguré en octobre 2020 à Besançon, quelques mois avant le début de la crise sanitaire. L’alternative à la grande distribution compte aujourd’hui plus de 500 coopérateurs qui sont non seulement les consommateurs, mais aussi les employés et propriétaires.
- Val, Parc et Monastère de Consolation
Cette Scic assure, depuis 2022, la gestion du parc naturel de Consolation dans le Jura, en vue de l’animer durablement. La coopérative entend promouvoir le slow-tourisme en favorisant, par exemple, l’éducation à l’environnement et les circuits de proximité. À termes, elle souhaiterait transformer le monastère en véritable tiers-lieu au service du lien social et des initiatives locales.
La rédaction