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Par Carenews PRO - Publié le 15 octobre 2025 - 09:00 - Mise à jour le 15 octobre 2025 - 10:01
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Komeet dévoile les premiers chiffres de son étude sur l’engagement sociétal des salariés

La plateforme a dévoilé en avant-première les contours de son étude sur l’engagement sociétal des salariés, le 8 octobre, à l’occasion du salon Produrable. Cette étude, réalisée auprès de 131 entreprises clientes de Komeet, impliquées dans des programmes d'engagement sociétal, vise à identifier les tendances dans ce domaine.

Julian Guérin, co-fondateur de Komeet, et Héloïse Arnold, chargée de communication, lancent officiellement leur étude sur l'engagement sociétal des salariés. Crédit : Léanna Voegeli
Julian Guérin, co-fondateur de Komeet, et Héloïse Arnold, chargée de communication, lancent officiellement leur étude sur l'engagement sociétal des salariés. Crédit : Léanna Voegeli

 

 

« L’engagement sociétal doit devenir une priorité pour les entreprises », explique Julian Guérin, co-fondateur de Komeet, le mercredi 8 octobre lors du Salon Produrable, à Paris. L’entreprise, issue de la fusion entre les sociétés Vendredi et Wenabi, présente les premiers contours d’une étude sur l’engagement sociétal des salariés. Selon Komeet, la notion désigne les actions en faveur de l'intérêt général (mentorat, bénévolat, dons, etc.) auxquelles participent des salariés avec le soutien ou dans le cadre de leur entreprise.  

L’objectif de cette étude : « promouvoir l’engagement sociétal des salariés en valorisant des exemples concrets et des données fiables, et offrir aux entreprises un outil de comparaison grâce à des chiffres-clés et des repères communs. », indique Julian Guérin. Elle a été réalisée auprès de 131 entreprises clientes de Komeet, impliquées dans un programme d’engagement sociétal.

 

L’impact sociétal comme motivation première 

 

Selon l’étude, 92 % des entreprises interrogées ont au minimum une personne en charge d’un programme d’engagement, au moins sur une partie de son temps de travail. Les budgets consacrés à ces programmes restent toutefois modestes : 52 % des sondés annoncent y attribuer moins de 20 000 euros par an. Seules 13 % disposent d’un budget supérieur à 200 000 €, tandis que 6 % n’ont aucun budget dédié.

Par ailleurs, dans 84 % des entreprises répondantes, la direction générale est motrice ou favorable à ces programmes. « "Comment l’engagement sociétal peut être un outil pour les managers ?" : la question doit être posée de cette manière pour les inciter à s’impliquer davantage », souligne Julian Guérin.   

Sur les motivations poussant une entreprise à instaurer un programme d’engagement, occupe la première place (99 %). Figurent également la volonté de fédérer les équipes (96 %), de fidéliser les salariés (95 %), d’améliorer la marque employeur (92 %), mais également de développer l’ancrage territorial de l’entreprise (80 %). 

Quant aux freins identifiés pour développer ces programmes, 80 % des entreprises sondées soulignent la difficulté à engager les salariés intéressés sur des actions concrètes ; 73 % invoquent un manque de temps ou de ressources ; 60 % la difficulté à communiquer et informer de l'existence du programme. 

 

Des relations positives avec les associations 

 

94 % des entreprises sondées estiment avoir des relations « satisfaisantes » ou « très satisfaisantes » avec les associations qu'elles soutiennent. Les causes les plus soutenues sont l'environnement (65 % des entreprises sondées), suivi par l’action sociale, l’emploi et l’éducation. 25 % indiquent ne pas s’engager en faveur d’une cause précise. Pour Julian Guérin, c’est pourtant une étape nécessaire pour motiver les salariés. 

Enfin, pour 82 % des entreprises interrogées, il existe un lien entre leur programme d’engagement et leur activité ou leur stratégie RSE.

 

La rédaction  

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