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Par Fondation Bouygues Telecom - Publié le 15 juillet 2024 - 19:16 - Mise à jour le 16 juillet 2024 - 16:21
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Participer à un jury d’appel à projets : l’expérience des collaborateurs Bouygues Telecom

Les lauréats de l’appel à projets de la Fondation Bouygues Telecom viennent d’être dévoilés, mais savez-vous qu’ils ont été élus par des jurys de collaborateurs Bouygues Telecom ? De tous profils, partout en France, ces volontaires ont vécu une expérience marquante, hors de leurs sentiers habituels.

Crédit photo : Fondation Bouygues Telecom
Crédit photo : Fondation Bouygues Telecom

La gouvernance participative au cœur de l’appel à projets

La Fondation Bouygues Telecom met l’engagement citoyen au cœur de sa mission. Un principe qu’elle porte jusque dans sa gouvernance, en décidant dès 2022 de confier aux collaborateurs Bouygues Telecom la sélection des lauréats de son appel à projets annuel. 

Dans chacun des 8 sites du groupe – Aix-en-Provence, Bourges, Bordeaux, Ile-de-France, Lyon, Nantes, Strasbourg, Tours – un jury de volontaires s’est donc réuni pour élire les projets soutenus par la Fondation en 2024. En amont, l’ensemble des jurés a reçu une formation afin de comprendre les enjeux du monde associatif et les mécanismes de l’analyse des dossiers.

Pour faire le lien entre Bouygues Telecom et les associations candidates, chaque dossier déposé est parrainé par un collaborateur ou un client Bouygues Telecom engagé dans l’association. Au total, 28 lauréats ont été désignés partout en France

Pour beaucoup de collaborateurs-jurés, il s’agissait d’une expérience singulière dans leur quotidien professionnel. Que leur a-t-elle apporté ?

3 jurés témoignent

Claire est responsable de comptes premium chez Bouygues Telecom Entreprises, à Nantes. Selda est responsable de point de vente Bouygues Telecom à Strasbourg. Raphaël est technicien de maintenance à Draguignan, près d‘Aix-en-Provence. Des profils différents, mais qui partagent l’expérience commune d’avoir fait partie du jury de l’appel à projets dans leur région. Si c’était une première pour Selda, Claire et Raphaël avaient tous deux déjà participé aux jurys.

Ce qui leur a plu ? « Voir les différentes associations, ce qu’elles font, quels sont leurs projets et comment on peut les accompagner », explique Claire. Pour Selda, attirée par le monde associatif, c’est une manière de « comprendre de quelle façon les associations sont structurées, comment elles fonctionnent. ». Raphaël, quant à lui, suit de près ce que propose la fondation de son entreprise. « Je trouvais l’idée de participer à un jury vraiment intéressante, j’ai sauté sur l’occasion. »

Crédits: Fondation Bouygues Telecom

 

Un travail d’équipe

Dans chaque jury, les collaborateurs ont travaillé en binôme. Ce mode de fonctionnement a fait l’unanimité, car c’est une source d’échanges, de dialogue, d’enrichissement de sa propre opinion sur les projets. « Le fait de partager avec un binôme nous permet de mieux sélectionner et de voir des choses que l’on n’avait pas vues », témoigne Selda. 

Raphaël abonde : « Parfois tu mets un dossier de côté, puis ton binôme te fait réfléchir et changer d’avis. C’est super intéressant. » Pour le technicien réseau, qui travaille en grande partie sur le terrain, c’est aussi une manière de nouer des liens. « Cela permet de rencontrer et de travailler avec des gens qui font partie de la même entreprise et que l’on n’aurait pas eu l’occasion de croiser. Ça rapproche de vivre cette expérience ensemble. Par la suite, on est toujours contents de se voir. »

Comme une fenêtre sur l’économie sociale et solidaire

L’expérience fait plonger les jurés au cœur du monde associatif, que certains découvrent et d’autres redécouvrent. Claire en avait déjà eu un aperçu en participant à des missions solidaires proposées par la Fondation Bouygues Telecom. Mais sa position de juré lui donne un point de vue bien plus complet.

« J’ai été étonnée par le nombre d’associations qui existent sur notre territoire et par la variété de sujets qu’elles portent. On n’imagine pas l’existence de certaines problématiques. C’est une vraie ouverture d’esprit. » - Claire

Le constat est partagé par Selda, qui découvre la densité du tissu associatif mais aussi ce qui l’anime. « Comme les entreprises, les associations doivent démontrer leur motivation et l’intérêt de leur projet pour obtenir des financements. ». Pour sa première participation aux jurys, Selda s’est appuyée sur la formation prodiguée en amont pour mener à bien sa mission.

« C’était très difficile de faire un choix et de ne pas laisser parler les émotions. J’ai suivi les consignes et analysé les dossiers pour être la plus juste possible. » - Selda

Raphaël, surpris comme les autres jurés par le nombre d’associations actives, s’étonne aussi de la portée de leur action. « On se demande si cela ne devrait pas être géré par les pouvoirs publics, car c’est toujours pour le bien collectif. Toutes ces initiatives sont portées par des gens très motivés qui se démènent. Et ça fait du bien, dans un monde où l’on vit un peu chacun pour soi. »

Une mission réalisée sur le temps de travail

Pour faciliter l’engagement des collaborateurs, la Fondation Bouygues Telecom leur propose toute l’année des missions à effectuer en volontariat, sur leur temps de travail. C’est dans ce contexte que les jurys de collaborateurs se sont constitués. « Une chance » pour Claire. « Je n’ai pas le temps en dehors de mon temps de travail, explique Raphaël. C’est très confortable que ça se passe via l’entreprise. Cela fait 20 ans que je travaille pour Bouygues Telecom, j’adhère complètement à ces valeurs de solidarité et au travail mené par la fondation. Et ça nous sort de notre travail quotidien. »

Selda y voit aussi une manière de fédérer les collaborateurs. « Cela nous permet de rejoindre une communauté présente un peu partout en France. »

Leur moment préféré ? Annoncer la bonne nouvelle aux lauréats.

« Quand on organise une visio, on voit les gens en vrai, ça devient réel. Jusque-là on ne voyait que leur dossier. Là, ils peuvent nous expliquer ce qu’ils vont faire », s’enthousiasme Raphaël. 

 

L’engagement citoyen, une valeur partagée

En écho à la mission de la Fondation Bouygues Telecom de soutenir l’engagement citoyen, les jurés ont tous à cœur de se sentir utiles, solidaires, actifs en faveur de l’intérêt général. « J’y mets toute ma conviction, précise Claire. On participe à notre hauteur. On se dit que c’est peut-être un peu grâce à nous si ces projets se mettent en place. ».

Selda en est convaincue : dans beaucoup de domaines, les associations ont un rôle essentiel à jouer et il faut les soutenir. « C’est important de s’impliquer, de donner l’exemple à notre entourage. Il y a des associations dans toutes les villes, on peut tous s’engager. Nous avons besoin de redonner de la place au partage et de nous intéresser à nos voisins, à notre quartier. »

Quand on leur demande s’ils sont prêts à réitérer l’expérience, la réponse ne se fait pas attendre. « Oui ! J’ai adoré », confirme Raphaël.

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