Les musiciens boursiers de la fondation d’entreprise Société Générale sur scène à Paris
Chaque année, la Fondation d’entreprise Société Générale attribue des bourses pour soutenir les projets d’étudiants du conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris. Le 31 mars dernier, le grand public est venu applaudir et féliciter ces boursiers lors d’un concert organisé sur une scène parisienne. Un spectacle plus que jamais tourné vers l’avenir !
Tous les ans, la Fondation d’entreprise Société Générale attribue des bourses à des étudiants du conservatoire de musique et de danse de Paris (CNSMPD). Ces bourses, qui sont destinées aux meilleurs projets musicaux d’étudiants, ont pour vocation de les aider à financer de manière concrète leur avenir professionnel – de l’achat d’un instrument à la production d’un spectacle.
25 étudiants soutenus en 2021
Depuis 1988, Société Générale, par le biais de son mécénat musical et à présent grâce à sa fondation d’entreprise, est partenaire des deux plus prestigieuses filières de formation d’instrumentistes classiques en France : les conservatoires nationaux supérieurs de musique et de danse de Paris et Lyon.
C’est sous l’œil d’un jury composé par les directeurs des établissements, des chefs de départements des différentes disciplines, ainsi que des représentants de la Fondation d’entreprise Société Générale que les candidatures sont soigneusement étudiées. Chaque année, les bourses sont attribuées aux étudiants en 2e et 3e cycles les plus méritants (plus de 1 000 en 30 ans de partenariat).
Le spectacle “Présence absence” du 31 mars 2022
Le spectacle s’est ouvert sur la performance montée par le violoncelliste Raphaël Bougy, « Présence absence ». Ce spectacle a réuni cinq musiciens et une danseuse autour d’une question : « À quoi ressemblerait la musique qui chercherait à traduire ou à suggérer la sensation de l'absence et de la présence ? » Raphaël Bougy y a apporté une réponse très personnelle en intégrant la voix de son grand-père dans la performance. Un moment riche en émotions !
Après cette ouverture qui a convaincu la salle, une balade mêlant des partitions connues comme le cycle « Ma mère l’Oye » de Maurice Ravel et des musiques plus récentes comme, par exemple « Escape » composée en 2007, a suivi.