ZEvent : les streamers dépassent la barre des 10 millions d’euros de dons
L’événement caritatif, diffusé en live sur Twitch, a permis de récolter 10 145 881 euros au profit de cinq associations de lutte contre la précarité.
Après une année d’absence pour « faire un gros point », le ZEvent, sorte de Téléthon nouvelle génération, était de retour du 6 au 8 septembre pour une huitième édition. Ce marathon caritatif réunit des streamers pendant un week-end, certains depuis le Zénith de Montpellier et d’autres à distance. En live sur le réseau social Twitch, ils tentent de récolter le maximum de dons de la part des spectateurs. Ceux-ci seront reversés à des d’associations.
Quelles sont les cinq associations sélectionnées ?
Cette année, 10 145 881 euros ont été récoltés en 48 heures. Un résultat tout proche du record de 2022 lorsque les streamers avaient récolté 10 182 126 euros. Depuis sa première édition en 2016, l’événement a permis de récolter 31 millions d’euros.
Comme en 2022, les organisateurs ont sélectionné plusieurs associations agissant dans un domaine précis, contrairement aux éditions antérieures lorsqu’une seule association était financée. Cette année, les cinq sélectionnées luttent contre la précarité :
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Le Secours populaire, qui agit contre la pauvreté et pour la solidarité ;
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Cop1, qui porte assistance à tout étudiant dans le besoin ;
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Les Bureaux du Cœur, qui utilise les locaux professionnels pour loger les personnes les plus précaires ;
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Solidarité Paysans, un mouvement de lutte contre l’exclusion en milieu rural ;
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Chapitre 2, Association d’accompagnement des jeunes vers l’autonomie.
Léon Marchand et Léna Situations parmi les donateurs
L’événement a attiré plus de 110 000 spectateurs qui ont assisté aux directs d’une trentaine de personnalités. Parmi les dons remarqués, on notera celui de l’influenceuse Léna Situations. Elle a versé. 20 000 euros aux associations. Le quadruple champion olympique de natation, Léon Marchand, a donné 4 500 euros.
En amont de l’événement, des critiques étaient apparues sur la présence de streamers ayant tenu des propos polémiques et le refus des organisateurs d’opérer un tri avec une vérification des antécédents.
La rédaction
