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Par Carenews PRO - Publié le 7 janvier 2021 - 16:00 - Mise à jour le 7 janvier 2021 - 16:00
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2021 décisive pour le climat, les difficultés du rachat d’un zoo par Rewild... La revue de presse du 7 janvier

Que fallait-il retenir de l'actualité de l'engagement cette semaine ? Voici les articles que la rédaction de Carenews a sélectionnés pour vous.

Crédit photo : artisteer.
Crédit photo : artisteer.

 

Pandémie oblige, les événements prévus en 2020 pour le climat ont été reportés à cette année. 2021 sera donc décisive pour le climat, la biodiversité et l’environnement sur les plans français, européen et international. Novethic en dresse l’agenda.

« À l’échelle internationale, la fin de l’année verra se tenir les COP des trois conventions de Rio, sur le climat (du 1er au 12 novembre), la biodiversité et la lutte contre la désertification. Des décisions importantes doivent y être prises. Les États du monde entier devront se fixer de nouveaux objectifs post-2020 en matière de protection de la nature lors de la COP15 sur la biodiversité qui devrait se tenir en octobre en Chine. »

 

 

Il y a quasiment un an jour pour jour, nous vous parlions du rachat du zoo de Pont-Scorff dans le Morbihan par la coalition d’associations Rewild grâce à la récolte de plus de 700 000 euros de dons. Son objectif : en faire un centre de réhabilitation pour animaux sauvages. Une mission complexe et coûteuse, sur laquelle Le Monde fait le point.

« Pour Wildlife Angel comme pour l’AFdPZ, l’Association européenne des aquariums et zoos ou encore la Ligue pour la protection des oiseaux, Rewild repose sur un engagement irréaliste. “Aucun acteur de la conservation ne peut soutenir un tel projet qui n’a aucun fondement sanitaire ou scientifique”, insiste Julie Lasne, une éthologue qui a participé au groupe de travail sur la faune captive fondé par le ministère de la transition écologique. »

 

 

Espaces de travail partagés et collaboratifs, les tiers-lieux se multiplient en France depuis plusieurs années, et le gouvernement s’y intéresse de près. Maddyness rapporte les effets de cet engouement, qui n’est pas sans inquiéter les porteurs de projet.

« Le système public – privé semble pouvoir fonctionner, à condition que l’État arrive en soutien et non pas en demandeur. S’il devient souscripteur, “on risque d’avoir une uniformisation des tiers-lieux, ce qui commence déjà” , alerte Mathieu Genty. »

 

 

Conformément à la loi, qui autorise, depuis les années 70, les associations à se constituer parties civiles si l’intérêt collectif qu’elles défendent est lésé, les structures déclenchent des poursuites contre les infractions d’affaires et les infractions environnementales. Julie Gallois, maître de conférences en droit privé et sciences criminelles à l’université de Lorraine et membre de l’Observatoire de l’Éthique publique, invite sur Capital le gouvernement à leur donner pleinement les moyens de le faire.

« A la différence des personnes victimes directes de l’infraction, lorsque les associations agissent en défense de cet intérêt pour lequel elles ont précisément été créées, elles doivent le faire selon certaines conditions. Les textes légaux habilitant les associations à agir précisent notamment qu’une action associative en défense d’un intérêt collectif n’est possible que pour les infractions qu’ils énumèrent limitativement. »

 

 

La RSE est-elle l’une des clés de la survie des entreprises face à la pandémie et ses conséquences sociales et économiques ? Novethic en fait la démonstration avec cinq signes que la mise en place d’une démarche avancée de responsabilité sociétale (RSE) offre une capacité de résilience supplémentaire plus nécessaire que jamais.

« En 2020, les entreprises se sont vues encore plus bousculées sur les questions ESG. Leurs manquements sont non seulement dénoncés dans les rapports d’ONG mais aussi devant la justice comme le montrent les deux affaires qui visent Total, l’une sur le climat, l'autre pour un projet en Ouganda. La fronde vient aussi des actionnaires qui demandent des comptes sur l'action climatique (à l'exemple des résolutions lors de l'Assemblée générale de Total), la déforestation ou les conditions de travail. »

 

 

Selon l’organisation de lutte contre les déchets Zero Waste France, rien qu’en France, l’utilisation de deux masques quotidiens par personne engendrerait 400 tonnes de déchets plastiques supplémentaires par jour. Le Monde se penche sur la solution de recyclage mise au point par l’entreprise TerraCycle, qui propose également de recycler les gants et les visières. 

« “Chaque type de déchet est composé d’un mélange de matériaux et nécessite des machines et des techniques de recyclage spécifiques”, détaille Julia Chevalier, responsable des relations publiques chez TerraCycle. Ces granulés sont ensuite utilisés pour confectionner du mobilier d’extérieur, des bancs, des arrosoirs ou encore des palettes de transport. “La seule chose qu’on ne peut pas fabriquer avec, ce sont des emballages alimentaires”, indique-t-elle. »

 

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