Description
Association reconnue d'utilité publique, AIDES a pour objectif de réunir et d’aider les personnes touchées directement ou indirectement par le sida et les hépatites afin de leurs permettre de s’organiser face à ce fléau.
Actions menées
Créée en 1984 et reconnue d'utilité publique en 1990, AIDES est la première association française de lutte contre le sida et les hépatites.
AIDES a pour objectif de réunir et d’aider les personnes touchées directement ou indirectement par le sida et les hépatites afin de leurs permettre de s’organiser face à ce fléau. Forte du respect de l’identité et du non-jugement, AIDES s’engage à respecter l’identité culturelle des personnes, leur sexualité, leurs styles de vie, leurs appartenances idéologiques et/ou leurs choix thérapeutiques.
AIDES agit avec et auprès des personnes fragilisées par l'épidémie en leur proposant l'accès au dépistage rapide du VIH et des hépatites, un accompagnement en pair à pair sur leur parcours de santé, un accès aux droits. AIDES lutte contre les discriminations vécues par les personnes vivant avec le VIH ou les personnes vulnérables à l'épidémie par des actions de plaidoyer, de sensibilisation et de communication. AIDES milite au quotidien pour transformer la société en changeant le regard porté sur le virus du sida et les personnes qui en sont infectées.
Notre communauté est composée de 1500 militants qui mènent nos actions quotidiennement, et de toutes les personnes qui nous suivent sur les réseaux sociaux. AIDES dispose de 76 lieux de mobilisation en France métropolitaine et Caraïbes. Ces lieux sont le cœur de notre action de proximité. Assurant l’accueil, l’orientation et l’accompagnement des personnes, les militants-es qui y sont engagés-es s’occupent du déploiement de nos actions de prévention et de dépistage sur le terrain.
Nos actions s’adressent prioritairement aux populations les plus vulnérables au VIH et aux hépatites. Nous déployons nos actions depuis nos 76 lieux de mobilisation (permanences d’accueil, entretiens individuels et/ou collectifs, groupes de parole, échanges entre pairs, etc.) mais également à l’extérieur, à la rencontre des publics les plus éloignés du système de santé dans leurs lieux de vie, commerces, lieux festifs et/ou de rencontre, leurs espaces de convivialité, etc.