Les collaborateurs de Generali, engagés auprès de leur fondation The Human Safety Net
Proposer à ses salariés de devenir bénévoles ? C’est tout l’esprit de la fondation The Human Safety Net (THSN), qui propose à tous les collaborateurs qui le souhaitent de soutenir l’une de ses 15 structures partenaires. Collecter des dons, lever des fonds, accompagner un entrepreneur réfugié, épauler des familles en difficulté… Toutes les bonnes volontés sont les bienvenues !
« L’engagement des collaborateurs est une vraie spécificité de notre Fondation, c’est dans notre ADN », souligne Laura Perrier, coordinatrice de l’engagement au sein de l’équipe THSN. Dès sa création fin 2017, The Human Safety Net s’est défini comme « un mouvement de personnes qui aident d’autres personnes ». « Notre volonté était d’aller au-delà de la philanthropie pour créer un véritable réseau d’entraide », précise-t-elle.
Pour faciliter et organiser l’engagement des agents et collaborateurs de Generali, THSN communique régulièrement sur ses actions, notamment lors des deux temps forts de l’année, deux grandes collectes de fonds organisés par toutes les équipes Generali dans le monde.
Une plateforme de volontariat accessible aux collaborateurs a également été déployée en interne. Elle permet de prendre connaissances des besoins très variés des associations soutenues par la fondation et d’y répondre en ligne en se portant volontaire. « Certaines associations ont des besoins très ponctuels comme apporter son expertise à un entrepreneur ou un parent pour des démarches administratives, participer à une collecte de livres au profit des enfants, etc. Mais des missions au long cours sont proposées également : des parrains pour les associations ou des ambassadeurs de la fondation qui travaillent en étroite collaboration avec l’équipe THSN », explique Laura Perrier.
Des missions ouvertes à tous
Parrain, c’est justement le rôle de Frédéric Martinelli auprès de l’association Intermèdes Robinson. Manager développement en charge des équipes commerciales dans le Loiret et l’Essonne, il s’est engagé auprès de cette association qui mène des actions auprès des familles très vulnérables et dans certains quartiers défavorisés de l’Essonne. « Je mets mon réseau professionnel (clients de Generali, collègues) et personnel à leur service, en relayant les actions de collecte sur les réseaux sociaux et en en parlant autour de moi », explique Frédéric Martinelli. « Quand nous avons renouvelé notre parc informatique, une quarantaine d’ordinateurs et de tablettes a été récupérée puis distribuée aux enfants. Cela leur a été très utile en pleine période de Covid, durant laquelle la fracture numérique était plus que jamais dénoncée », ajoute-t-il.
Arrivé en 2019 chez Generali, Frédérick Toure, chargé de développement d’activité /Moniteur au sein du réseau commercial LFAC, a rapidement entendu parler de la Fondation et de ses missions. « J’ai participé à quelques actions collectives, puis fin 2021, sur la plateforme, j’ai vu que l’association La Ruche, partenaire de la Fondation, recherchait des coachs pour soutenir des entrepreneurs réfugiés. Je me suis rapproché d’eux, et le projet m’a plu. » Depuis le début de l’année, Frédérick accompagne un groupe de huit réfugiés afghans dans leur projet d’ouverture d’un restaurant de spécialités afghanes à Avignon.
Il les retrouve une fois par mois à Paris, pour participer à des séminaires de formation organisés par La Ruche, et le reste du temps, il est en contact régulier avec eux pour suivre l’état d’avancement de leur projet, les épauler dans certaines démarches administratives… « Je leur apporte mon aide technique et parfois mon soutien psychologique. Humainement parlant, c’est d’une richesse incroyable ! Si tout va bien, leur restaurant ouvrira à la fin de l’année. Voir leur projet aboutir, les voir s’épanouir, c’est un grand bonheur », s’enthousiasme-t-il.
Objectif : 20 % d’engagement en 2024
Aujourd’hui, 550 salariés et agents généraux se sont engagés dans une action de bénévolat, soit 8 % des collaborateurs de Generali. L’objectif est d’atteindre 20 % de l’effectif en 2024. « Souvent les collaborateurs n’osent pas, pensent ne pas être légitimes ou assez compétents », constate Laura Perrier. « Mais il n’y a pas de petit engagement. Tout compte. Une petite action peut être très importante pour la personne en face de nous. »
Ce que confirme Frédéric Martinelli :
« On n’est pas Zorro ou Superman, mais on agit à notre échelle, chacun en fonction de ses envies et de ses possibilités. Quand je vois toutes les actions menées par les équipes d’Intermèdes Robinson et les répercussions positives sur les familles, j’aimerais leur consacrer plus de temps ».
Frédérick Toure, de son côté, incite tous les collaborateurs à s’engager : « On sent une fibre solidaire au sein des équipes. Cette année, avec le Global Challenge, on a réussi à embarquer du monde, à lever des fonds, à imaginer de nouvelles actions. Il faut sauter le pas, c’est vraiment gratifiant ! »
Programme THSN pour les familles :
La Sauvegarde de l'Enfance à BrestIntermèdes Robinson à Chilly-Manzarin Les Restos bébés du Cœur à Agen Les Apprentis d’Auteuil à travers 7 Maisons des Familles (Mulhouse, Amiens, Montdidier, Bordeaux, Vaulx-en-Velin, Nantes, Marseille) 1001 mots
Programme THSN pour les entrepreneurs réfugiés :