4 personnalités engagées découvertes cette année par la rédaction
Engagements sociaux, environnementaux… Carenews a découvert pour ses articles des personnalités inspirantes qu’il va falloir suivre dans les années à venir. En voici quatre.
- Léa Falco, militante Pour un réveil écologique
Cette année, Léa Falco s’est faite repérer pour sa parole engagée et sensée. La rédaction avait découvert la militante de l’association Pour un réveil écologique lors du dévoilement des 100 propositions du Grand Défi des entreprises pour la planète. Depuis, l’activiste a publié un essai intitulé « Faire écologie ensemble » qui parle du clivage intergénérationnel au sujet de l’écologie.
- Féris Barkat, cofondateur de Banlieues climat
Féris Barkat s’est fait connaître sur TikTok. Il y cumule plus de 50 000 abonnés. Le jeune homme de 20 ans vulgarise les enjeux climatiques et souhaite toucher le plus grand nombre en utilisant les codes de la jeunesse. En parallèle, il a cofondé l’association Banlieues Climat avec le rappeur Sefyu, Abdelaali El Badaoui fondateur de Banlieues Santé et l’activiste Sanaa Saitouli. L’association sensibilise et forme les jeunes des quartiers populaires aux enjeux climatiques.
Clémence Nutini travaille pour Nespresso France. Elle est responsable du développement durable depuis 2019. Ses missions sont multiples. Elle s’occupe de la stratégie climat de la marque, de la communication en la matière et également de toutes les questions de certification environnementale. Dans un entretien publié sur Carenews, elle était revenue sur les engagements du spécialiste de la dosette. À ce sujet, elle avait estimé : « Nous sommes peut-être un peu trop discrets. L’équilibre est hyper compliqué, car dès que Nespresso communique sur une bonne action, il y a des critiques quoi qu’il en soit. »
Vénézuelienne exilée en France, Paola Salazar Santos est directrice générale adjointe de l’association UniR. Elle a particulièrement contribué au développement de la structure depuis 2018. UniR accompagne les exilés qui habitent en France dans leur parcours pour intégrer une université française. L’association propose également des cours de Français notamment en ligne. Mais Paola Salazar Santos voit encore plus grand. « Nous pourrions un jour devenir nous-même une université pour les exilés », avait-elle précisé lors de la rencontre avec Carenews pour réaliser un portrait.
La rédaction