[Best of] Les entretiens de personnalités du secteur de l’engagement les plus marquants de 2022

• Jean-Christophe Combe

En janvier 2022, la rédaction rencontrait Jean-Christophe Combe, directeur général de la Croix-Rouge française à l’époque. L'occasion d’échanger sur son livre « L'humanité ne se négocie pas » qui aborde l’engagement des bénévoles, les crises humanitaires et climatiques et la question des personnes réfugiées. Depuis, Jean-Christophe Combe a été nommé ministre des Solidarités, de l'Autonomie et des Personnes handicapées, le 4 juillet dernier dans le gouvernement d'Élisabeth Borne. 

• Léa Moukanas

En février, nous nous entretenons avec Léa Moukanas. Son profil nous intéresse particulièrement. Elle a 15 ans lorsqu’elle crée Aïda, une association qui œuvre pour l’accompagnement de jeunes touchés par la maladie. L’association mobilise aujourd’hui près de 2 500 bénévoles et intervient dans une cinquantaine d’hôpitaux partenaires. La rédaction revient sur son parcours et ses motivations au moment où elle décide de lancer l’association.  

• Mamadou  

À l’occasion du livret l’Année de l’engagement, publié par Carenews, début 2022, nous rencontrons Mamadou, qui a reçu le prix « Limousin de l’année 2021 » pour son engagement de bénévole au sein du Secours populaire de Limoges. Une récompense méritée pour le jeune malien, qui a connu les routes de la migration et de l’enfer, à travers la Libye et l’Algérie. Un calvaire de dix huit mois sur lequel il revient lors d'un long entretien poignant.

• Céline Schmitt

Début mars, la situation en Ukraine se complique, à la suite de l'invasion russe, et des milliers de personnes sont contraintes de fuir leur pays. La rédaction s'entretient avec Céline Schmitt, porte-parole au UNHCR. À l’époque, des questions se posent sur l’accueil des personnes réfugiées et comment les soutenir via des dons. 

• Frédéric Bordage

Le Métavers secoue la planète tech. Entre innovation numérique du Web 3.0 et pollution à outrance, la rédaction s’interroge sur cet engouement. Avancée sociétale ? Pas vraiment. Au contraire, alors que l’urgence climatique est là, est-ce bien nécessaire ? L’occasion de rencontrer Frédéric Bordage, fondateur de GreenIT.fr, un collectif d’experts en sobriété numérique. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur ce sujet et prône un numérique éthique et régulé. 

• Camille Etienne

Jeune activiste, Camille Etienne est le symbole d’une génération qui s’engage pour le climat. Dans cet entretien, elle revient sur son parcours et les sujets qui l’animent. Parle-t-on assez du climat selon elle ? Comment alerter le grand public ? Redécouvrez notre entretien. 

• Guillaume Dinkel

Avant l’été, la rédaction termine son dossier sur le mécénat culturel. Guillaume Dinkel est alors chef de service du mécénat, de la valorisation domaniale et des relations institutionnelles du château de Fontainebleau, qu’il a quitté depuis pour rejoindre la mission mécénat au musée de l’Armée. Il répond à nos questions sur les enjeux du mécénat culturel et ses perspectives post-crise.

• Bruno Villalba

Septembre, la rentrée bat son plein et le mot « sobriété » est de toutes les discussions. Fin de l’abondance, transition écologique, renoncement… qu’est-ce que cette sobriété dont on nous parle tant ? Bruno Villalba, professeur de science politique à l’école AgroParisTech, membre du laboratoire de recherches Printemps partage son regard éclairé. 

• Anne-Sophie Pierre  

Sujet intéressant, mais peu traité, les low-tech peuvent être une réponse aux besoins de durabilité des entreprises. En France, l’enseigne de sport Decathlon a intégré l’innovation frugale à la conception de certains de ses produits. Comment un magasin s’approprie-t-il ces low-tech ? La rédaction a rencontré Anne-Sophie Pierre, référente innovation frugale chez Decathlon.

• Fabrice Bonnifet

Dernier entretien de l’année avec Fabrice Bonnifet, le directeur du développement durable du groupe Bouygues et président du C3D. L’occasion d’échanger sur son rôle dans une entreprise, mais aussi dans la société. Peut-il vraiment influencer les décisionnaires ? Réponses dans cette interview sans langue de bois. 

La rédaction